RESUMENES
DE LAS CONFERENCIAS
Premier exposé : “Apparition des nombres complexes dans les representions analytiques d’écoulement au 18 ème siecle”
Gérard Emile Grimberg
(Institut de mathématique de l’Université
Fédérale de Rio de Janeiro)
Nous cherchons à dégager quelques méthodes
de representations analytiques des milieux continus (Fluide, cordes vibrantes)
où interviennent les nombres imaginaires au travers de l’étude
des travaux de d’Alembert, Euler, et Lagrange.
Deuxième exposé : "Représentaions géométriques des nombres complexes dans la première moitié du 19 ème siecle"
Gérard Emile Grimberg
(Institut de mathématique de l’Université Fédérale de Rio de Janeiro)
Nous montrons comment
l’utilisation des nombres imaginaires dans le traitemment des trajectoires
orthogonales, et l’utilisation des imaginaires dans le traitement de
certaines projections (cartes) par Euler (vers 1770) conduisent implicitement
à une représentation géométrique des quantités
imaginaires et ouvre la voie aux fameuses representations d’une part
celles d’Argand (vers 1810) et de Warren (vers 1827), et d’autre
part de celle de Gauss (1831) puis celle de Cauchy (1847) pour ne parler des
représentations géométriques qui furent les plus répandues
dans la première moitié du 19ème siècle.
Au travers de ces deux exposés nous cherchons à poser la question
de ce qu’est une représentation en mathématique et en
quoi elle contribue au developpement même des théories.
"Algunos conceptos de álgebra abstracta y su motivación histórica"
César Polcino Milies
(Universidade de Sao Paulo)
Números complejos y cuatérnios:
una respuesta a necesidades intrinseca.
Grupos: la tendencia a la abstracción.
Números hipercomplejos: la influencia del formalismo en si.
"From Ether to Metric"
Pedro W. Lamberti
(Universidad Nacional de Córdoba)
Heinrich Hertz´s Principles of Mechanics was published in 1894. According to Hertz, one of the objectives of the book was to develop a framework where a theory of the ether could be established. Along the years the deep influence of this book on different areas of knowledge has been widely recognized. For example it is well established the influence of Hertz´s image theory on L. Wittgenstein’s philosophical ideas. For historians of physics the book has the relevance of being one of the first attempts of formulating a forceless mechanics. From the perspective of the history of mathematics the book of Hertz is considered a milestone in the use of Riemannian geometry in physics. In this talk we discuss the physical and mathematical ideas behind Hertz’s formulation. Our presentation emphasizes the epistemological context that prevailed at the end of the XIX century, when the mechanistic world view pervaded all physics.
"The mathematical proportion and its role in the Cartesian geometry"
Sandra Visokolskis
(Universidad Nacional de Córdoba)
In the field of creativity
in mathematics, it is interesting not only to highlight the deductive methods
of cognitive contribution, but also rescue non-deductive procedures such as
analogical reasoning, visual inferences and the use of metaphors, among others,
which contribute in unsuspected ways in the expansion of this field of knowledge.
It is intended in this work to account for the respectively proposed alternatives
to deduction, via formalization in terms of a mathematical notion relegated
and generally neglected, as it is the proportion. Indeed, in the history of
this discipline, the concept of proportion has had a marginal account, contributing
so overlapped on the formal establishment of various notions that marked the
mainstream of mathematical knowledge.
"Dinámica y matemáticas: G. W. Leibniz entre cartesianos y galileanos"
Alberto Guillermo Ranea
(Departamento de Historia, Universidad Torcuato Di Tella)
Entre 1689 y 1707, G. W. Leibniz y Denis Papin
sostuvieron una intensa controversia acerca de cómo medir lo que llamaban “fuerza
motriz” o “acción motriz”. Si bien se trata de uno de los debates más extensos
que Leibniz sostuviera, este episodio de la llamada “disputa por las fuerzas
vivas” es también uno de los menos estudiados hasta el presente. A diferencia
de otros debates que Leibniz sostuviera sobre esta misma cuestión, en éste se
enfrenta con un adversario que, si bien versado en matemáticas, sólo le interesa
la utilidad de éstas para la realización de proyectos de nuevas máquinas. El
contexto de la controversia es el de las llamadas “matemáticas mixtas”, su fundamentación
y su aplicabilidad en la segunda mitad del siglo XVII y comienzos del siglo
XVIII.
En la primera presentación (23 de noviembre) trataré de describir este contexto
mediante un estudio de la obra del arquitecto Francois Blondel. En particular
me concentraré en su postura frente a las demostraciones galileanas sobre las
propiedades de la caída de los cuerpos, y en general en el uso que hace Blondel
de la matemática para plantear y resolver problemas en la naturaleza y en la
técnica, en particular en arquitectura. En la segunda presentación (24 de
noviembre), intentaré mostrar cómo ese contexto de “matemáticas mixtas” está
presente en la controversia entre Leibniz y Papin, en especial en el problema
de las definiciones de los términos de la teoría y su relación con su medición,
en la fundamentación de las demostraciones galileanas en la “nueva ciencia”
del movimiento según Leibniz y Papin, y en el papel que ambos asignan a las
matemáticas en sus argumentos.
"Gerhard Hochschild: 1915--2010. A life of mathematics"
Walter Ferrer
(Centro de Matemática. Facultad de Ciencias. Montevideo, Uruguay)
In this talk we will present a brief description of the mathematical
production of Gerhard Hochschild. We will concentrate in his contributions to
Homological algebra, Lie and algebraic groups and Hopf algebra theory.
"Faire de la géométrie
infinitésimale au 19e
siècle : histoire de courbures et géodésiques"
Philippe Nabonnand
(Nancy Université - Université Nancy 2 )
Les cours seront consacrés à la géométrie des surfaces durant le 19^e siècle. On s'intéressera plus particulièrement aux techniques élaborées dans ce cadre par les géométres qui étudient les questions de courbes sur les surfaces. L'étude de la notion de géodésique sera au centre des trois cours.
Le premier cours sera consacré à la manière dont les géomètres français utilisent la notion de coordonnées géodésiques proposées par Gauss dans les /Disquisitiones generales circa superficies curvas /et définissent la notion de courbure géodésique.
Le second cours sera consacré à la seconde variation des courbes géodésiques//et à une intéressante discussion autour de la réception des travaux de Jacobi
en mécanique.
Le troisième cours sera consacré
à la question des projections géodésiques entre surfaces en partant des premiers
travaux de Gauss dans son article de 1822 « /Allgemeine Auflösung der Aufgabe
die Theile einer
gegebnen Fläche auf einer andern gegebnen Fläche so abzubildern dass die Abbildung
dem Angebildeten in den kleinsten Theilen ähnlich wird /» jusqu'au travaux de
Beltrami sur la pseudo-sphère.
Intervention 1
"Sur les commentaires d’Ibn Hud de Saragosse des Sphériques
de Ménélaüs"
Intervention 2
"Sur les commentaires d’Ibn Hud de Saragosse des Sphériques
de Théodose de Tripoli"
Mohamad Al Houjairi
(Université de Tripoli)
La recherche astronomique pendant
le IXe et le Xe siècle était à l'origine d'un développement
important en géométrie sphérique. Les méthodes inventées
pour résoudre les problèmes métriques sur l'étendue
de la sphère ont abouti, à la fin du Xe siècle, à
l’émergence d’une discipline indépendante de l’astronomie
et de la géométrie: la trigonométrie, et à une authentique
réforme de la géométrie sphérique.
Une fois affranchis du théorème de Menelaüs, les mathématiciens
comme al-Khujandi, al-Buzjani et Ibn ‘Iraq ont en effet accumulé
des résultats: les formules usuelles de la trigonométrie, le triangle
polaire, etc. À leur suite, al-Biruni, Nasir al- Din al-Tusi menèrent
de plus en plus loin cette recherche trigonométrique. En géométrie
sphérique, Ibn al-Haytham introduit des méthodes infinitésimales
en assimilant les petits triangles sphériques à des triangles
rectilignes. À côté de ces grands noms à l’avant-garde
de la recherche, d’autres savants ont continué à s’interroger
sur l’héritage des anciens: ils ont développé le
contenu mathématique et amélioré les méthodes. Le
mathématicien de Saragosse, Ibn Hud (mort en 1085 [478 H.]) est précisément
de ceux-ci. S’appuyant sur ses prédécesseurs, il développe,
dans son livre intitulé al-Istikmal (La Complétion), une ‘théorie
classique’ - plutôt d’aspect pédagogique – des
géométries sphériques de Théodose et de Ménélaüs.
Ce développement passe paradoxalement tout à fait loin du théorème
des sinus qu’Ibn Hud ne mentionne nulle part dans ses Sphériques
de l’Istikmal. Néanmoins, en comparant le texte de géométrie
sphérique d’Ibn Hud, celui de Ménélaüs tel qu’on
le trouve dans le livre d’Ibn ?Iraq et les commentaires propres de ce
dernier, on remarque que le texte de l’Istikmal reflète une tendance
- bien que très faible en l’absence du théorème des
sinus – à une reprise par des démonstrations intrinsèques
de quelques théorèmes sphériques.
- Dans la première intervention, notre étude porte sur le théorème
de Ménélaüs et ses applications directes dans l’Istikmal
d'Ibn Hud.
- Dans la deuxième intervention, notre étude porte sur un théorème
de l’Istikmal d'Ibn Hud qui généralise la proposition (III,
11) des Sphériques de Théodose et intègre les propositions
(III, 23-25) des Sphériques de Menelaüs.
L’étude est basée sur le texte occupant les folios 76v-90v
du manuscrit de l’Istikmal “Copenhague, Or. 82” et elle comporte
trois parties: 1) Une traduction des textes étudiés; 2) un commentaire
mathématique et historique de leur contenu; 3) et une identification
des sources d’Ibn Hud. Le texte sphérique de l’Istikmal est
transmis par une seule source connue qui est le manuscrit déjà
mentionné. Tout le long de notre étude, nous faisons recours aux
Sphériques de Ménélaüs et de Théodose pour
réaliser une comparaison directe avec les Sphériques de l’Istikmal.
"El papel del estudio de instituciones en la construcción de una historia social de la ciencia en Argentina. Siglos XIX Y XX"
Pablo Souza
(Universidad Nacional General San Martín, Buenos Aires, Argentina)
El presente trabajo se propone explorar el desarrollo de dos temas relacionados en forma estrecha. Primero, la creciente afirmación en Argentina durante los últimos veinte años de diversas áreas de estudios relacionadas a la historia de la ciencia; entre ellas se ha destacado disciplinas tales como la historia social de la ciencia y la historia social de la medicina. Segundo, el creciente estudio de instituciones científicas y tecnológicas como actores relevantes en la articulación y expansión de la tecnociencia local. En efecto, en la fusión de ambas coordenadas no solo se ha producido la configuración de una comunidad académica, y el florecimiento de temas relevantes para una agenda científica y tecnológica; también ha florecido un modo de mirar y un modo de trabajar dichas problemáticas en clave histórica. Estos procesos académicos van otorgando visibilidad a un tema – la historia de la ciencia local – y un período – los siglos XIX y XX – escasamente reconocidos con anterioridad, tanto por las disciplinas históricas tradicionales, como por las distintas versiones de las historias disciplinares y profesionales que a modo de memoria histórica se han escrito desde los espacios profesionales relacionados a la producción científica y tecnológica.
1er Charla
"Poincaré et
l'esthétique en mathématique : cadre méthodologique et
métaphysique"
Caroline Jullien
(Nancy Université - Université Nancy 2)
En ce qui concerne le
rôle et la signification de l’esthétique en mathématique, Poincaré fait figure
d’autorité. Une grande majorité des travaux qui portent sur cette question mentionne
une référence explicite à la conception poincaréenne de la beauté en mathématique
; de la même façon, de nombreux mathématiciens en appellent à Poincaré lorsqu’il
s’agit de défendre le rôle de l’esthétique dans leur science. L’objet de cette
intervention sera de montrer que la thèse de
Poincaré, si elle est cohérente et argumentée, n’en repose pas moins sur des
présupposés métaphysique et méthodologique dont il faut tenir compte pour pouvoir
l’adopter.
2da Charla
Dialectique algèbre - géométrie : une perspective esthétique"
Caroline Jullien
(Nancy Université - Université Nancy 2)
La densité syntaxique
et la densité sémantique sont des réquisits établit par Goodman lors de son
investigation méthodique des fonctionnements des systèmes symboliques (Nelson
Goodman, Langages de l'art, 1968, Nîmes: Chambon 1990). Ces réquisits lui permettent
d'une part de distinguer les systèmes notationnels des systèmes non notationnels
mais, d'autre part, ils sont aussi répertoriés
"Facetas del pensamiento
de Vladimir I. Arnold" Víctor Rodríguez
"Albanese, Weil
e Zarisk em Sao Paulo - 1936/1947" Alberto de Carvalho P. de Azevedo
FIRST LECTURE : VARIATIONAL
PRINCIPLES I: "From Leibniz to Lagrange
through Maupertuis" Pierre Cartier (IHES) Leibniz philosophy was based
on the idea that , among all possible worlds , the one actually chosen by God
was the best possible one . It is well known that Voltaire made a ridicule of
this idea, supposed by him to confort the existing social and political order.
"SECOND LECTURE : VARIATIONAL
PRINCIPLES II: "Hamilton in optics
and mechanics" Pierre Cartier (IHES) Hamilton was primarily an astronomer.
This explained why he was interested both in optics and in dynamics. What made
his fame were his great results in optics, culminating in the experimental discovery
of the so-called conical refraction. He based the whole of (geometrical) optics
on the Fermat principle of shortest time of propagation of light. But his theory
was formulated in such a way that he didn't have to choose between the two rival
theories, waves vs corpuscles. He was viewing an optical device as some transformation
in a four-dimensional geometric space, whose points are the light rays, encapsulated
in the so-called "principal unction". It took him another step of
great difficulty to transport these methods in the field of dynamics , the final
step being the famous Hamilton's equations. The door was open for Jacobi ...
THIRD LECTURE : VARIATIONAL PRINCIPLES
III: "Foundations of physical
theories according to Mie" Pierre Cartier (IHES) When Maxwell formulated mathematically
the new ideas about electricity and magnetism, by means of his famous equations,
he remarked that the lectromagnetic field was formally equivalent to an assembly
of harmonic oscillators. Hertz was very fond of this idea, which was latter
very instrumental in formulating a quantum theory of
par Goodman comme symptômes de l'esthétique. Je propose de présenter les réquisits
en question et d'expliciter leur statut de symptôme de l'esthétique dans un
cadre interprétatif mathématique. Je
montrerai en particulier comment le passage de l'usage de la figure à celui
de la lettre en mathématique se traduit en termes de substitution d'un système
syntaxiquement dense par un système sémantiquement dense. L'ambition étant de
montrer à la fois comment cette substitution sert la cognition, en permettant
par exemple de contourner des difficultés conceptuelles, tout en contribuant
à la valeur esthétique des mathématiques.
(Universidad Nacional de Córdoba)
Se analizan algunos aspectos del pensamiento del matemático
V.I. Arnold (1937 – 2010) relacionados con la matemática, con su
enseñanza y con su historia. Se intentan enfocar estas facetas desde
una perspectiva epistemológica tratando de comparar su estilo de pensamiento
con el propio de otras corrientes filosóficas relacionadas con la disciplina.
Se arguye que su enfoque arroja luz sobre puntos importantes que diferencian
a corrientes conceptuales que invaden las prácticas matemáticas
contemporáneas.
(Universidad de Brasilia)
"The distinguished mathematicians Albanese, Weil and Zariski
were at the University of São Paulo during the following periods: Albanese
1936-1942 and again 1946-1948, Weil jan/1945-sept/1947 and Zariski jan/dez 1945.
We recall events during those periods".
Around 1750, Maupertuis, a colourful scientist , proposed to base the dynamical
theory (of Galileo and Newton) upon a "principle of least action".
The corresponding mathematical tools were invented and developed by Euler, giving
rise to the new field of Calculus of Variations. Lagrange, afraid of philosophical
discussions about final causes, developed his own version of the Calculus of
Variations, viewed as an extension of the differential calculus. The Lagrange
book:"Analytical Mechanics" was based on these analytical methods.
fields (Dirac , Pauli , ...). Since Hamilton had eformulated
Lagrange's mechanics by introducing explicitely an action integral, it was tempting
to develop such an integral of action in the theory of electromagnetism . Hence
we would have a derivation of Maxwell equations within the Calculus of Variations.
This was developed explicitely by Mie. Hilbert was especially enthousiastic
about this point of view. This led him to develop Einstein's equations of gravitation
(general relativity) in a variational way, now completely accepted. The equality
of action and reaction, central to Newton's project, does not have to be introduced
from the outside. This permits a deeper understanding of the interactions. Over
the past 5O years, the new theories of elementary particules, extremely sophisticated,
have yield to this new paradigm: all the existing physics is summarised in a
unique Lagrangian, albeit very complicated at first sight.
1er charla:
"La dépendance de l'algèbre
naissante (9e siècle) à l'égard de la géométrie"
Phillippe Abgrall
(CNRS)
Al-Khwarizmi gives, in what historians recognize as the first work of algebra, the solution of six theoretical forms of linear and quadratic equations, by the way of algorithms. But, to justify these algorithms, he has to come back to geometry. Therefore we shall ask the question of the place of these geometrical arguments in this new theory which al-Khwarizmi wants to raise to the rank of discipline. To answer this question, we shall present the works of some successors of al-Khwarizmi, as Thabit ibn Qurra or Abu Kamil.
2da charla:
"Méthodes algébriques et géométriques comparées, pour la résolution de
problèmes dans les mathématiques écrites en arabe"
Phillippe Abgrall
(CNRS)
From the raising of algebra as an independent discipline in the 30s of the 9th century, in Baghdad, its connections with the geometry takes several forms. One of them concerns a kind of rivalry between both disciplines, or more exactly a kinf of confrontation. Algebraists will succeed in turning some solid problems into equations, but they will not reach the solution by radicals. The geometrical method by intersection of conics will become standard and lead to the theory of the 3rd-degree equations, written by al-Khayyam at the end of the 11th century. Some other problems, as the construction of polygons, will be resolved by algebraic methods, in 9th century.
"Une conception algébrique des faisceaux de coniques au 17e siècle"
Marie Anglade
(FMSH-París)
By trying to find new answers
to already resolved geometrical problems, as that of the two mean proportionals,
by hoping even to exhaust all possible answers for these problems, a mathematician
from Liège, René-François de Sluse, in 17^th century, created, by purely algebraic
manipulations, what we call linear bundles of conics today.
This lecture will show how Sluse proceeded in order to do that in its two treaties
: the /Mesolabium/and /De Analysi/.
"Galois theories in four steps of generalization level"
J. J. Szczeciniarz
(Université Denis Diderot, Paris VII)
Firts lecture
I recall what the classical Galois theory
consists in.
The elementary concepts of normality and separability are displayed. I will
try to give a epistemological and philosophical comment on the Galois correspondence
and to explain why (in which goal) this abstract development was prevailling
in its interpreation.
"Galois theories in four steps of generalization level"
J. J. Szczeciniarz
(Université Denis Diderot, Paris VII)
Second lecture.
I will explain what the steps I chosed consist in. The first step concerns the introduction of the concept of algebra, and I will explain the advantages we gain with this structure. I will show also in this lecture how the topological frame is introduced as a second step of generalization. I will follow the book by F Borceux and George Janelidze Galois theories.
"Galois theories in four steps of generalization level"
J. J. Szczeciniarz
(Université Denis Diderot, Paris VII)
Third lecture
I give the fourth step of generalization.
It unifies the advantages of the Grothendieck algebra and of the topological
point of view : it is the infinitary Grothendieck Galois theory. This introduction
does not present the theory. In its full generality, that is in the context
of schemes.
In this lecture I would try to emphasize the epistemological buiding up of the
theory. And I will try to comment this theory from a philosophical point of
view.